Décodage biologique

[Vendredi Lecture] « Biologie des Croyances » de Bruce Lipton

Chers passionnés de science et de développement personnel, aujourd’hui nous plongeons dans l’univers fascinant de « La Biologie des Croyances » de Bruce Lipton, un ouvrage qui bouleverse notre compréhension du lien entre l’esprit et le corps.

Bruce Lipton, biologiste cellulaire de renom, nous invite à repenser radicalement notre vision de la génétique et de l’influence de nos pensées sur notre santé. Son livre est une véritable révolution dans le domaine de la biologie, remettant en question le dogme du déterminisme génétique.

Une nouvelle perspective sur nos gènes

Lipton commence par remettre en question l’idée que nos gènes contrôlent notre destin biologique. Il affirme avec force :

Nous ne sommes pas victimes de nos gènes, mais maîtres de notre destin.

Cette déclaration audacieuse nous invite à reconsidérer notre rôle dans notre propre santé et bien-être.

Le pouvoir de nos croyances

L’un des messages les plus puissants du livre est résumé dans cette citation percutante :

Nos croyances contrôlent notre biologie.

Lipton explique comment nos pensées et nos croyances peuvent littéralement modifier l’expression de nos gènes. Cette idée révolutionnaire nous donne un pouvoir immense sur notre santé et notre bien-être.

La cellule intelligente

Lipton nous présente une vision fascinante de la cellule comme un organisme intelligent et conscient. Il explique comment chaque cellule de notre corps est capable de percevoir son environnement et de réagir en conséquence. Cette compréhension de la « conscience cellulaire » ouvre de nouvelles perspectives sur la façon dont notre corps fonctionne et guérit.

L’impact de l’environnement

Un aspect crucial du livre est l’importance de l’environnement dans notre développement biologique. Lipton explique :

L’environnement, qui est perçu par l’individu, est traduit par le cerveau en informations chimiques qui régulent l’expression des gènes.

Cette compréhension nous permet de mieux saisir l’importance de créer un environnement positif pour notre santé.

Au-delà du darwinisme

Lipton remet également en question certains aspects de la théorie darwinienne de l’évolution. Il propose une vision plus nuancée de l’évolution, où la coopération joue un rôle aussi important que la compétition. Cette perspective nous invite à repenser notre place dans le monde naturel.

Implications pour la santé et le bien-être

Les idées de Lipton ont des implications profondes pour notre approche de la santé et du bien-être. Si nos croyances peuvent influencer notre biologie, cela signifie que nous avons un pouvoir considérable sur notre santé. Lipton nous encourage à adopter des croyances positives et à cultiver un état d’esprit optimiste pour favoriser notre bien-être.

Un appel à l’action

« La Biologie des Croyances » n’est pas seulement un livre informatif, c’est un appel à l’action. Lipton souligne l’importance de la conscience de soi dans ce processus :

La conscience est notre capacité à observer nos pensées et à les modifier.

Il nous invite ainsi à prendre le contrôle de nos pensées pour transformer notre vie et notre santé.

En conclusion, « La Biologie des Croyances » de Bruce Lipton est un ouvrage révolutionnaire qui nous invite à repenser fondamentalement notre compréhension de la biologie et de notre propre pouvoir sur notre santé. C’est un livre qui inspire l’espoir et l’optimisme, nous rappelant que nous avons bien plus de contrôle sur notre vie que nous ne le pensions.

Chers lecteurs, j’espère que ce résumé vous a donné envie de plonger dans cet ouvrage fascinant. N’oubliez pas : vos pensées ont le pouvoir de transformer votre réalité biologique.

Alors, quelles croyances positives allez-vous cultiver aujourd’hui ?

Décodage biologique

[Vendredi Lecture] La Bio-logique du Surmoi de Laurent Daillie

La Bio-logique du Surmoi : Un voyage fascinant au cœur de notre psyché

Chers lecteurs passionnés de développement personnel, aujourd’hui, plongeons ensemble dans l’univers captivant de « La Bio-logique du Surmoi », un ouvrage révolutionnaire de Laurent Daillie, qui est paru déjà il y a quelques années. Préparez-vous à un voyage introspectif qui pourrait bien changer votre vision de vous-même et des autres !

Une nouvelle perspective sur le Surmoi

Oubliez tout ce que vous pensiez savoir sur le Surmoi ! Laurent Daillie nous invite à explorer une conception rafraîchissante de cette partie de notre psyché. Loin d’être simplement notre « police intérieure », le Surmoi serait en réalité guidé par une émotion primaire : la peur. Comme l’explique Daillie :

Le fondement du Surmoi n’est pas la conscience du bien ou du mal mais la peur de l’Autre et de son éventuelle sanction en termes de rejet ou de violence, soit une situation potentiellement mortelle.

Cette perspective remet en question la définition traditionnelle du Surmoi donnée par la psychanalyse freudienne, qui le considérait comme une structure morale et judiciaire induite par notre éducation.

La peur de l’Autre : notre moteur secret ?

Imaginez un instant : et si la majorité de nos actions étaient motivées par la crainte du jugement d’autrui ? Daillie nous dévoile comment cette peur ancestrale influence subtilement (ou pas !) notre quotidien. C’est à la fois fascinant et légèrement perturbant, n’est-ce pas ? L’auteur souligne :

Pour l’éviter, notre cerveau archaïque nous manipule en permanence. Par exemple, il nous fait être obsédés par la nécessité d’être aimables et irréprochables pour plaire à l’Autre et surtout ne pas lui déplaire, en conséquence de quoi nous ne sommes jamais nous-mêmes.

Les manifestations surprenantes de notre Surmoi

Vous vous reconnaîtrez peut-être dans certains de ces comportements décrits par Daillie :

  • Être toujours irréprochable (au point d’en être épuisant)
  • Dire « oui » quand vous pensez « non » (on a tous fait ça !)
  • Ressentir une culpabilité inexpliquée
  • Craindre le regard des autres
  • Manquer de confiance en soi

Ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas seul(e) ! Ces réactions sont plus communes qu’on ne le pense. Comme le dit l’auteur :

Cette peur nous vaut d’être souvent tourmentés par la culpabilité, la honte, le remords, le regret et l’humiliation.

Un héritage de notre passé

Daillie nous rappelle avec bienveillance que ces mécanismes ont jadis assuré notre survie. Il explique :

Il faut revenir au contexte de nos lointaines origines pour le comprendre : en milieu naturel, être rejeté équivaut à une condamnation à mort ; quant à la violence, elle peut être fatale ou induire de graves blessures.

Comprendre leur origine peut être la première étape vers une libération progressive.

Les conséquences sur notre vie quotidienne

L’impact de cette peur ancestrale sur notre vie moderne est considérable. Daillie met en lumière plusieurs aspects :

  1. La quête perpétuelle d’approbation : « Que va-t-on penser de moi ? » devient une question omniprésente dans notre esprit.
  2. La difficulté à être authentique : En cherchant constamment à plaire, nous perdons de vue qui nous sommes vraiment.
  3. Les blocages dans notre évolution : La peur de déplaire peut nous empêcher de saisir des opportunités de croissance.
  4. Les impacts sur notre santé : L’auteur souligne que « de nombreuses somatisations [ont] cette cause. »

Et maintenant ?

La prise de conscience est le début du changement. En comprenant mieux le fonctionnement de notre Surmoi, nous pouvons apprendre à vivre plus authentiquement et sereinement.Daillie nous encourage à :

  • Reconnaître les manifestations de notre Surmoi dans notre vie quotidienne
  • Comprendre l’origine de nos peurs et de nos comportements
  • Travailler progressivement à nous libérer de cette peur archaïque

« La Bio-logique du Surmoi » n’est pas qu’un simple livre, c’est une invitation à mieux se comprendre et à s’accepter. Comme le résume si bien l’auteur :

C’est le propos de ce livre que d’expliquer tout cela : pourquoi, comment et combien la peur de l’Autre et de son éventuelle sanction dirige notre vie ; et toutes ses conséquences, des plus anodines aux plus graves.

Alors, êtes-vous prêt(e) à embarquer pour ce voyage intérieur passionnant ? À explorer les recoins de votre psyché et à découvrir comment cette peur ancestrale influence votre vie ?

N’hésitez pas à partager vos réflexions dans les commentaires. Avez-vous déjà ressenti l’influence de votre Surmoi ? Comment cela se manifeste-t-il dans votre vie ? Quelles stratégies avez-vous trouvées pour vous en libérer progressivement ?

À vos marques, prêts, introspectez !

Psychogénéalogie

Psychogénéalogie : les filles-mères célibataires (2)

Dans l’article précédent, je vous ai présenté la famille de Pierre DANVIOLET et ses quatre filles-mère célibataires. Nous allons analyser le génogramme de Pierre et de ses ascendants paternels pour repérer les possibles programmations et loyautés.

Pierre, né le 18/01, est le 5ème enfant de Gaudérique BIOLI dit DANVIOLET et Françoise « Marguerite » Thérèse LAVALL (ou LAVAILL selon les actes). En effet, nous nous apercevons que Pierre est le seul à naître sous le nom DANVIOLET, nom transmis par la mère de Gaudérique, Josèphe, qui est dénommée BIOLI dite DANVIOLET dans les actes.

Dans la fratrie de Pierre, nous retrouvons trois enfants décédés jeunes :

  • Gaudérique, né le 11 janvier, donc lié à Pierre, à 6 mois;
  • Marguerite, à 9 jours;
  • Magdelaine, décédée à 5 ans, lorsque Pierre a 11 mois.
  • Seul André a survécu à sa petite enfance et est décédé célibataire à l’âge de 54 ans..

Lorsque Pierre a 3 ans, son père décède. 3 ans plus tard, Françoise décède à son tour. Pierre et André se retrouvent orphelins. Nous ne savons qui les a recueillis.

D’autres événements sont liés à la date de naissance de Pierre (18/01):

  • la naissance de son fils Pierre, décédé 1 heure après, le 12/01,
  • le mariage de sa fille Anaïs, le 19/01.

Voici l’arbre de Pierre avec le côté paternel pour l’instant. Je poursuis les recherches pour trouver la lignée maternelle, puis nous terminerons la lecture puis l’analyse de l’arbre.

Psychogénéalogie

Psychogénéalogie : les filles-mères célibataires

Une partie de cet article est apparue pour la première sur mon blog de généalogie le 29 mai 2018. J’y ajoute la dimension psychogénéalogique.

Situation familiale

Chaque famille a ses petits secrets et autres histoires qui, à l’époque, devait être source de commérages. Parmi les situations les plus en vues, les mères célibataires sont presque devenues monnaie courant dans la fin du 19ème siècle. En voici un exemple, à Perpignan.

Pierre DENVIOLET et Marie Joséphine BERTRAND se marient à Ille-sur-Têt (Pyrénées-Orientales) en 1860. Il est journalier, orphelin depuis qu’il a 6 ans, Marie est sans profession et n’a plus ses parents non plus. Tous deux originaires de milieu modeste, le couple part sur Perpignan, à 25 kilomètres, afin d’améliorer ses conditions de vie. Ils habitent tout d’abord en plein centre-ville et Pierre exerce en tant que journalier. Ils ont quatre filles : Anna en 1865, Mathilde Eugénie en 1867, Catherine en 1869 et enfin Françoise en 1872.

Nous retrouvons leur trace en 1883, lors de la naissance de leur première petite-fille Eugénie Baptistine en 1883. Sa mère, Anna a alors 17 ans et habite Route de Prades avec ses parents. Anna aura un deuxième fils, Pierre, né en 1885. Ils seront légitimés tous les deux lors de son mariage avec Victor SALETTES, briquetier, en 1889 à Perpignan. Cinq demi-frères et sœurs les rejoindront.

Mathilde, la cadette, a également eu son premier enfant à 17 ans, elle se prénomme Marie-Jeanne mais ne survit que 8 mois et décède en septembre 1885. Son fils Jean-Pierre naîtra en 1886 et décédera à 34 jours, puis suivra Marie Léonie qui naît en 1887. Enfin, un dernier enfant, Justine naîtra en 1891. Mathilde ne s’est apparemment jamais mariée. Marie Léonie et Justine se marieront respectivement en 1906 et 1909.

Catherine, la benjamine de la famille, accouchera d’une fille prénommée Marie Catherine en 1891, qui décédera 1 mois et demi à peine plus tard.

Catherine se mariera avec Etienne CARRERE, un artiste lyrique, en 1893.

Enfin, Françoise, la dernière des filles, aura une fille, Valentine en 1890, qui ne vivra que 3 semaines. Françoise se mariera avec Bonaventure SALETTES, son beau-frère, ils auront alors un fils, Pierre François, né en 1891, le même jour que sa cousine Marie Catherine. 

Après le décès de Catherine et Bonaventure, Françoise se mariera avec son beau-frère Etienne CARRERE.

Analyse psychogénéalogique

Suite à la recherche plus poussée sur le couple initial de Pierre et Marie, nous trouvons un premier enfant, Pierre, né hors mariage le 12/01 et décédé 1 heure après (pendant que son père le déclare à la mairie). Il est lié par sa date de naissance à son père, né le 18/01. Il semblerait que les filles de Pierre rappelle à leurs parents ce frère aîné disparu trop tôt, en ayant à leur tour, plusieurs enfants hors mariage et de pères non dénommés. Notamment, Anaïs aura une première fille, Eugénie Baptistine, née le 18/01. Mathilde aura deux enfants, né le 4 et 5/01. La fille de Catherine, décèdera le 06/01.

Anaïs se marie le 19/01, pour l’anniversaire de son père à 1 jour près. Les bans du mariage de ses parents ont été publiés le 18/01.

Les 3 aînés de Mathilde, Catherine et Françoise sont décédés dans leur premiers mois de vie.

Concernant Valentine, fille de Françoise, elle est née le 28/04. Sa mère se marie avec Etienne CARRERE le 27/04, il est né le 29/04. Etienne serait-il le père de Valentine ? Valentin est également le second prénom du mari de Françoise, Bonaventure ? Serait-il le père de Valentine ?

Sources : Archives départementales des Pyrénées-Orientales

Psychogénéalogie

Psychogénéalogie : Les programmations : des héritages physiques, psychologiques et émotionnels

« Oh, qu’il ressemble à son père !« , « Les chiens ne font pas des chats !« , « Dans la famille, on a des soucis cardiaques.« 

Combien de phrases ainsi énoncées permettent de s’identifier à sa famille ? La programmation en psychogénéalogie est le fait de suivre un chemin tracé par nos parents ou grands-parents afin d’être loyal à l’image que l’on se fait de nous ou à la destinée que l’on croit devoir suivre. En effet, la programmation est soit directe d’origine ascendante, comme par exemple la programmation par le prénom donné par la mère, soit d’origine descendante dans le cas où l’individu, pour prouver qu’il fait partie de ce clan, va mettre en place des maladies ou des comportements qui confirme aux yeux de tous cette appartenance à la famille.

Ces phrases dites par l’entourage peuvent également programmer inconsciemment celui qui l’a reçoit alors qu’il n’avait pas forcément mis en place cette programmation dans un premier temps. « Puisqu’on me dit que je vais finir comme mon père, je vais confirmer cette « vérité » « 

Quelques exemples de programmation :

  • au niveau physique : les maladies « héréditaires » (faiblesse d’un organe en particulier) ou pour confirmer notre situation de membre non dominant qui ne détrônera pas le dominant, les ressemblances physiques (couleur des cheveux, des yeux, forme du visage),
  • au niveau psychologique : les traits de caractère (perfectionniste, rêveur, soupe au lait), les répétitions d’événement (accident au même âge ou à la même date qu’un être cher disparu, grossesse au même âge que la mère, situation maritale ou parcours de vie identique),
  • au niveau émotionnel : émotion envahissante lors d’événement anodin, phobies, angoisses inexpliquées dans certaines situations, maladies de type émotionnelle (eczéma, intolérances et allergies alimentaires), passion pour une activité artistique déjà exercée dans la famille…

Ces programmations peuvent passer inaperçue car on peut considérer qu’il s’agit d’un choix délibéré de l’individu ou d’une fatalité génétique. Elle ont pour conséquence de bloquer votre évolution sur votre chemin de vie et de vous maintenir en dominance par la famille.

Se guérir de son arbre

Le décodage de ces maladies et comportements peuvent permettre de stopper la programmation et de vous rendre auteur de votre existence. Les choix sont faits en conscience par rapport à votre existence actuelle, non pour réparer une blessure familiale mais pour vous guider.

Pour déterminer ces programmations, un travail sur votre arbre est nécessaire pour repérer les répétitions, deuils non faits et autres facteurs causals. Si vous souhaitez découvrir comment travailler sur votre arbre, venez participer à la conférence et aux ateliers sur la généalogie et la psychogénéalogie à Perpignan ou contactez-moi pour un travail personnalisé.